La poursuite du But infini

Au milieu de nul part. Seul le froid et le vide régnent. On voit les lumiére d'étoiles éloignées, de systémes se trouvant si loin et pourtant si prés.
Une lueur palpita dans cet espace, puis s'agrandit rapidement, faisant apparaître une fenetre hyperespace.
La lueur bleuté de la fenêtre augmenta, indiquant qu'elle était maintenant stable.
Il en sorti un croiseur léger. Cependant, il ne portait aucune couleur d'état ou de puissances. Il était d'un noir profond et pourtant, ne ressemblait à aucun croiseur existant.

-Calcul de suite nos nouvelle coordonnées.
-J'ai déjà commencait.
Le scan n'indique aucun navire à proximité. Il semble que l'on soit tranquille, Tenann.
-Saï? Comment fonctionne ton nouveau joujou?
-A merveille. Vous nous avez fait gagner un produit remarquable.
Le pauvre marchand, il vaut bien le triple de ce qu'il nous l'a vendu. Si on le rode correctement, on devrait pouvoir le faire fonctionner un bon nout de temp.

Un signal lumineux clignota sur la passerelle.

-Calcul terminé, Tenann.. La planéte la plus proche se trouve à moins d'une année lumiére d'ici. C'est Naboo.

Laïla se tourna vers Tenann et attendit un ordre de sa part.
Personnellement, elle souhaitait aller sur Naboo. C'est là que Laïla avait croisé la route de Tenann. Donc un lieu de souvenir.

Tenann ne montrait aucun signe. Le silence était coupé par le bruit des moteurs et par les signaux des ordinateurs de bords.

-Cap sur Naboo. On en profitera pour aller voir ta famille, Laïla

Un sourire illumina le visage de la jeune fille.
Elle pivota vers les instruments. Là, son sourir s'assombrit.

-Capitaine? Il semble que l'on doivent remettre ca à plus tard. Le scan indique la présence de vaisseaux hostiles.
-Prépare les commandes, Laïla. Saï, reviens sur la passerelle.
-De suite. Le temps de mettre les drones en fonction urgence.

La bataille avait commencé depuis quelques minutes.
Les vaisseaux inconnus avait tiré une rafale de salve laser.La coque avait résistée, et déjà Laïla avait dirigé le croiseur pour permettre à Tenann et Saï de riposter rapidement.
Avec Laïla aux commandes du vaisseau et les deux artilleuse aux manoeuvres des canons, le menu frotin commencait à se dispercer, cherchant un moyen d'éviter les tirs du Valania.
Deux des cinq vaisseaux assaillants furent détruits par la riposte de Tenann et de Saï.
Cette réponse à leur assaut sembla remuer les cerveau des pirates

-Tenann? Que dirais tu de tenter l'autre version de la riposte?

Pour toute réponse à la question du cyborg, les armes du croiseur commencérent à se modifier d'eux même.
Lorsque la manoeuvre fut faite, sur les cinq canons originaux de chaque tourelles, il n'en restait plus que deux, mais leur aspect était tel que leur diamétre avait doublé.
Le tir suivit ébranla la structure même du Valania, mais l'effet prduit sur l'aggresseur fut celui escompté. Un troisiéme vaiseeau sombra dans l'obscurité spatial, puis une explosion produit un éclairage tel que les pirates purent voir la modification sans probléme.

-Vaisseau inconnu, ici le Nabestria. Nous nous rendons, cessez le feu, s'il vous plais.
-Capitaine?
-Je n'ai pas le temps de m'embarasser de pirates de l'Espace. On les abat.La voix de Tenann était neutre
-Capitaine, ils se rendent. On ne peut les abattre comme cela.
Et on est censé en faire? Les escorter jusqu'à Naboo? Pendant ce temps, ils se feront la malle, pour mieux nous tomber dessus plus tard.
On ne discute pas Saï et on éxécute.

Déjà, les tourelles du Valania s'orientaient vers les deux vaisseau restant.

-Capitaine. Je pense...

Trop tard, Tenann avait déjà tiré les deux salves à haute vélocité.
Le spectacle des deux vaisseaux se transformant en petits soleils temporaire apparut sur les écrans du vaisseau.
Saï et Laïla se tournérent vers Tenann pour lui reprocher ce meurtre inutile, mais ne purent prononcer mots devant le spectacle encore plus rare que leur montrait celle ci.
Depuis le temps qu'elles se connaissaient, c'était la premiére fois que Saï et Laïla voyait ce spectacle.
L'eau tombait doucement, suivant des courbes qui semblaient froides.
Telle deux perle d'une rareté inégalable, deux larme brillait sur le visage de celle que l'on nomme la Danseuse de la Mort.
Des paroles étrange sortirent de sa bouche.

-Dashou shi narun yure.
Hume ye panon
Sa manosu mamoru no sipirito.

Laïla avait enregistrait les paroles et pressa un bouton sur son clavier de controle.
Doucement, le vaisseau reprit sa route vers Naboo.

-Commandant. Une communication depuis Coruscant.

Tenann était pensive.
Si prêt de sons but, on la rappellait au temple et elle ne pouvait refuser d'y répondre.

-On repart à Coruscant.
-Bien, Tenann.

Laïla sentait que quelque chose tracassait la Jedi.
D'abord, elle demandait un service à ce capitaine de la garde de Naboo, puis maintenant, elle repartait pour Coruscant.
Sans prendre plus le temps de réfléchir, elle dirigea le croiseur vers la Planéte et enclencha l'Hyper Espace. Elle observa les panneau d'affichage et remarqua une chose étrange.
La vitesse sub-spatiale était étrangement grande pour le vaisseau.
La jeune pilote brancha son com sur celui de Saï. L'image apparue aussitôt.

-Qu'y a t'il Laïla?
On se déplace étrangement vite dans l'Hyp.
-C'est le nouveau matériel qu'on a acheté avec le capitaine. J'ai finis de l'installer. Pour le roder un peu, je le pousse au maximum.
On devrait arriver dans deux heures.
Surveille bien les indicateurs. Il serait domage qu'on apparaisse au milieu de la flotte républicaine et qu'on nous prenne pour des ennemis.

La jeune fille souria. La droïde répondit à son sourire, puis coupa la com.

Laïla sentie une présence derriére elle, et se retourna pour voir le capitaine de la garde penché sur son épaule et observant les instruments.

-Ainsi donc, c'est vrai. Vous pilotez seule ce croiseur.
-Pas exactement. Saï m'aide en faisant tourner les machines, tendit que je donne les information de navigation à l'AI du vaisseau.

Le capitaine semblait sidéré d'entendre de telle paroles de la bouche d'une enfant.

-Vous connaissez bien le Commandant.
-En effet. Je l'ai trouvé sur Coruscant.
Un groupe de malfrat l'avait frappé et elle était dans un sale état. J'ai sentis qu'elle avait de grande capacité et je l'ai emmené au temple Jedi. Mais je ne pouvais rester, aussi, je l'ai déposé, puis allongé sur les marches, espérant qu'ils s'occuperaient d'elle. Un sourire apparut sur le visage de l'homme. Elle est rentré dans l'Ordre, puis elle est venue me revoir. Je n'aurais jamais cru qu'au travers du brouillard de la douleur, elle se soit souvenue de moi.
Nous sommes devenus des amis, bien que j'ai eu du mal à avoir sa confiance. Même maintenant, je ne prétendrais pas qu'elle me fait confiance, mais au moins, elle me respecte. La réciproque est vrai.
J'ai eu l'occasion de la voir sur les champ de bataille, et je suis sur d'avoir eu raison de l'amener au temple ce jour là.
-Vous devez donc savoir qui elle recherche, alors.
-Pour le moment, elle cherche un homme qui l'a livré aux malfrat. Elle pense qu'il peut la mener à ce qu'elle cherche réellement.
Des contacts à moi, au sein des Jedi, m'ont apprit qu'on ne sait pas d'ou elle vient. Alors je suppose qu'elle cherche à retrouver elle même sa planéte natale.

Les paroles de Salorsan donnérent un sens nouveau a la distance que maintenait en permanence Tenann avec autruit.
Blessée par ces hommes, elle s'était renfermée sur elle même et poursuivait sa route seule, dans la crainte de blesser les personnes qui l'entoure.
Laïla se tourna vers Tenann et l'observa en silence durant un long moment.

-Comment une telle femme peut être aussi protectrice? C'est ce que tu te demande?

Laïla hocha de la tête.

-Je m'avance peut être, mais c'est peut être une caractéristique de son peuple.
Ils ne doivent porbablement pas être de nature belliqueuse, mais plutôt pacifiste.
Pour qu'on ne les ai pas encore trouvé, ils doivent être extrêmement doué pour ce cacher.
-C'est possible, quand on voit comment Tenann se déplace.
On dirait plus un murmure du vent qu'un pas de soldat.
De plus, elle n'agit principalement que la nuit et dans les Ténébres.
Lorsqu'elle doit agir en pleine lumiére, on ne l'entend que à peine, et la plus part du temps, c'est trop tard pour l'ennemi.
-C'est vrai, mais elle semble plus à l'aise dans le noir. Elle se cache de la lumiére du jour.
Regarde la bien. Même la lumiére du pont de commande la géne. Elle garde les yeux fermés et reste dans l'ombre.
-Maintenant que vous le dites, elle n'a jamais fait remettre les lumiéres qui étaient morte, si bien que bon nombre de zones sont dans le noir, maintenant.

Saï était apparut sur le com et regardait Laïla et Salorsan. Son regard était profond, mais pourtant absent.
Elle méditait ce qu'elle avait entendu.

-Vous êtes l'experte logistique de vaisseau. Vous ne les avez pas changé vous même?
-Une fois j'ai voulut le faire, mais Tenann m'a arrêté avant même que j'ai passé la commande pour les changer, en me sortant une mauvaise excuse, et en me faisant comprendre qu'il n'y aurait pas d'autre excuse fournit.
Laïla, envoie un rapport comme d'habitude.
Même si c'est minime, c'est une information et nous avons promit de les envoyer au conseil, quelque soit l'information.
-Je sais. C'est la condition pour qu'ils nous laissent rester avec notre soeur.

Le capitaine semblait de nouveau surprit.

-Pourquoi le Conseil Jedi refuserait que vous restiez avec Tenann? Elle est des leur et elle...
-Ce n'est pas elle qui est remise en question, mais nous.
Tenann venait d'accepter que je me joigne à elles et un soir, alors que Saï et moi étions sorties nous distraire un peu, nous avons, malgrés nous, baignée dans un étrange trafic. Il semble que sa portait sur des affaires concernant le République et ses ennemis.
Tenann nous a sortie de là, mais notre présence à laissé une trace qu'elle ne pouvait dissimuler.
Elle ne nous l'a jamais reproché, mais le Conseil Jedi nous a convoqué et a éxigé des explications.
Tenann nous avez sortie une premiére fois des trafics d'enfants et de droïde, et ils l'avaient laissé faire ce qu'elle voulait nous concernant, et voila que nous nous retrouvions impliqué dans des affaires dangeureuse.
Après que nous leurs ayons expliqué ce que nous savions et pourquoi nous avions attérit là, ils ont accepté de nous laisser le bénéfice du doute, mais ils réclament que nous leur donnions tous ce que l'on découvre sur le Commandant. Alors...

Laïla et Salorsan se tournérent vers Tenann. Saï l'observait par le com.
Le visage du commandant semblait si paisible, mais ils savait aussi que cette apparence calme et posée était un masque sur un passé qu'elle refusait de partager.

Le Valania arriva rapidement en espace conventionnel autour de Coruscant.

Wann se réveilla et se dirigea vers la cabine avec le r2 qui ne le lâchait plus à présent, semblant avoir décider de le prendre comme maître. Ils arrivèrent non loin du poste de commande, là ou se trouvait le reste de la troupe hétéroclite. Wann sentait les passages en hyperespaces ou autre mais il était totalement paumé.

Il aurait bien voulu demander ce qui se passait mais ne le fit pas.Restant muet, depuis que les compagnns de Tenann étaient la , ils n'avaient entendu de lui que "b'jour" et rien d'autre. Wann regardait de loin les manoeuvres de chacun, il connaissait déjà si bien le jeu des ombres, que personne ne le remarqua, dans son coin, l'air sage d'un adulte peint sur le visage, et concentré sur ce qui se passait. Le r2 fit clignoter sa petite diode électro-luminescente derrière Wann et joua le jeu en "observant " la scene

Les moteurs vrombissaient dans le vide intersidéral.
Les étoiles défilaient les unes après les autres.

Saï observait les contrôles et les jauges de chaques compartiments, veillant ainsi sur l'intégrité du vaisseau.
Rien ne génait le voyage, elle décida donc de se rendre dans le hangar des droides pour poursuivre l'entretien de certains droide qu'elle avait du délaisser pour diverses raisons.
Elle prit son com et sortie de la salle.
Elle parcourut les couloirs parfois sombre, moins souvent éclairé. Elle parvint devant une porte qui s'ouvrit avec un grincement métalique
A l'ouverture de la porte, des bips parvinrent en tout sens aux senseurs auditifs de Saï, mais elle remarqua qu'un des droides semblait manquer.
Elle connaissait le matériel du bord et vit une cape jeté sur le droide "manquant".
Saï apercut alors le jeune Wann presque endormit contre le droide. Elle s'approcha de lui et retira la couverture du droide en lui faisant signe de ne pas faire de bruit.
Elle examina les circuits du droide et commenca la maintenance de celui ci.

Elle entendit légèrement Wann, et un sourire apparut sur le visage de Saï.

-Tu semble bien perdu, petit.
Que t'arrive t'il? Tu étais plus joyeu tout à l'heure.

Wann regarda Saï, le visage toujours fermé

-je sais pas quoi faire, j'mennuie ici

fi-il d'une voix douce mais triste...auteement dit une autre façon pour dire qu'il se sentait à l'écart...et autant esclave qu'avant .

-Vous devriez faire gaffe qu'il se réveille pas l'droid, il a l'air de vous en vouloir à mort...

Wann fixa Saï d'un regard inquiétant, et pas le moins du monde enfant. L'expression mêlait, tristesse, résignation et colère... le tout étant réuni autour de la souffrance. Par des mots simples et une conversations bénine Wann essayait de faire passer un message.

-Vous voulez qu'j'parte pour que vous fassiez les trucs sur le bip-bip?

-Qui t'a dis qu'on voulait que tu partes?
Au contraire, tu es le bienvenu.
Pour le Droide, je ne m'inquiéte pas.
Ils savent tous que je suis comme eux, en quelque sorte.

Le sourire de Saï restait sur son visage, tandis qu'elle relevait sa manche, révélant par la même ses membres mécaniques.

-En faite, je suis une cyborg, grace à Tenann.
J'étais au bord de la mort et elle m'a offert une seconde vie.
C'est pour cela que je suis avec elle aujourd'hui.
Non pas parce qu'elle m'oblige de rester avec elle, au contraire.
Lorsque je me suis réveillé, elle était là, à côté de moi, m'observant.
Aujourd'hui, quand j'y repense, c'était sa facon à elle de s'inquiéter pour moi.
Lorsque j'ai voulut la remercier, elle m'a répondu "Si tu veux vraiment me remercier, utilise cette deuxiéme vie de la maniére qui te plait le mieux.
Rien ne te retiens, tu es libre.
Voici un peu de sous, utilises les pour te faire une nouvelle vie et vis heureuse comme tu le peux avec ce corp.

Un Bip de plaisir sortit de l'organe audio du Droide. Saï venait de connecter deux cables, améliorant ainsi les réactions du corp mécanique.

-Certains diront que je suis son esclave depuis ce jour. Saï rigola. Un rire franc et enfantin. Pourtant, même si je dois rester avec Tenann, c'est mon choix est non par obligation.
Ne vois pas ce chemin comme une cage dorée,
C'est vrai que le fait d'être avec elle, oblige à quelques sacrifices. Mais à côté, tu peux conscidérer ce lieu comme ton foyer.

Le regard qu'elle jeta à Wann exprimait ce qu'elle ne parvenait à dire.
Une famille l'attendrait ici, aussi longtemps qu'il le désirerait

-Sa te dirais de m'aider à réparer un peu les Droides?

Wann écouta ce que Saï avait à dire...son regard répondit par l'affirmative à ce qu'elle venait de déclarer. Il voulait bien la croire ...mais n'était toujours pas enclin à parler. Wann fit comprendre à Saî qu'il la croyait. Il utilisait la Force par instinct, c'est à dire qu'elle intervenait seule...c'était le cas cette fois, et Wann put sentir que les sentiments de Sai étaient vrais...néamoins il se sentait gêné car il ne sentait pas les mouvements ou le corps de la jeune fille dans la Force...un peu comme si elle était un esprit seul.

-J'suis nul en mécanique

finit-il par dire,

-avant j'avais jamais vu ce machin qui fait bip

Wann avait passé 6 ans de sa vie sous un pont, et deux autres dans ue carrière, alors la technologie et lui çà faisait 10 000 , il ne savait même pas qu'un vaisseau pouvait exister, avant de monter dans le valania. Quand à comprendre comment un droid fonctionnait sans avoir de lien avec la Force ou le vivant...ça le dépassait

-mais j'peux donner ce qu'il y a dans la trousse ...

de sachant même pas ce qu'était un outil. En fait la technologie qu'il avait vu, durant 8 ans se limitait à son sabre-laser

Saï regardait les circuits abimé du droide.

-Quand il c'est approché de toi, tu l'as accepté tel qu'il est.
Je viens de te montrer une choses que pourtant tu ne semblait pas soupçonner et tu ne m'a pas fuis, alors, même si tu n'y connais rien en mécanique, tu peux apprendre.
Lorsque l'on commence, on ne connait pas toujours le sujet.

Les doigts de Saï était agile, normal pourrait on dire pour un cyborg, mais elle parvenait à atteindre le point précis qu'elle cherchait parmis la multitude de cables et de piéces.

-Quand je suis arrivé, mes connaissances se limitaient à la mécanique d'un moteur à explosion, pourtant, aujourd'hui, je suis l'expert logistique de tout ce croiseur. Je gére les machines, les drones et autres membres de ce vaisseau.
Alors ne désespers pas.
Tiens, passe moi la tige verte avec le petit cadran.

Lorsque Wann lui eu passé Saï l'appareil demandé, celle ci appliqua la tige sur l'un des circuits.

-Ton sabre laser contient lui aussi une grande technologie.
Dans la maintenance, le plus compliqué c'est le systéme d'Intelligence Artificiel. Le reste, c'est de l'électrique et de la pression dans des tubes.

Le visage de Saï exprimait une passion pour ce qu'elle faisait.

-Avant de rejoindre Tenann, j'étais une misérable voleuse et une fille de joie pour des ivrognes dans les bars.
Regarde ce que je suis maintenant.
Le Capitaine a accepté une fille conscidéré comme une moins que rien et a fait de cette même fille, une personne qui l'accompagne et à qui elle confit sa vie par moment.
Alors si il y a esclavage, c'est un esclavage à double sens.
Si je le voulais, je pourrais la trahir et lui nuir, mais la réciproque est vrai. Nous dépendons l'une de l'autre, et nous oeuvrons pour l'autre. De mon point de vue, du moins.

Tiens, approche et regarde ca. Saï montra à Wann un conducteur. -Il est grillé. Il permet de sentir le relief du sol.
Je dois en avoir d'autre dans la caisse. Tu peux m'en passer un, s'il te plais?

La voix de Saï était douce et sereine.

Wann farfouilla dans la caisse et trouva ce que Saï lui demandait

-il va me suivre partout maintenant le Bip-Bip ? j'ai essayé de lui dire qu'il est a vous mais y veut pas ...p'têtre que si c'est vous qui lui ordonnez ....p'têtre qu'il voulait me surveiller, hein Bip-Bip ?

Wann s'assit à terre, impressionné par les gestes humains que la femme était capable de faire ...par contre il ne savait pas ce qu'était un moteur à explosion ni une fille de joie..mais le mot ivrogne passa par une oreille et ne ressortit plus. Il examina la fille cherchant des symptômes d'alcoolisme, qu'il connaissait bien et se trouva bien soulagé, de trouver que non.

Il examinait les gestes rapides de Saî, la certaine tendresse qui y était ne lui échappait pas. Wann voyait les choses en décalé.Ses yeux se mirent à briller étrangement, mêlant Force lumineuse et larmes. Lentement il se mit à déclamer les mots qu'il attendait et espéraient depuis longtemps. Des mots travaillés durant 8 ans, à la manière d'un professionnel. 8 ans pour assembler ces mots, et enrichir son vocabulaire ...afin de réussir et pouvoir l'espérer. En plus le contexte était parfait. Parmi les étoiles

-Je vais te confier un secret , puisque tu m'a confié le tien. Moi je sais ce que sont les étoiles ... je le sais mais je ne devais le dire qu'à la personne en qui j'avais confiance ou elles se serraient effacées . Maintenant que j'ai assemblé les mots, je peux dire le secret .

Chaque jour de sa vie un mot de plus, une phrase, un terme apprit pour ce poème pour cette vérité d'enfant

Dans les milliers de sentiers de la galaxie
Eparses les Milliards de larmes de Lune
Pleurs de joie en souvenir d'un récit
L'Amour entre deux astres de fortunes

Aux temps des eclipes et pour quelques minutes...
Chapardées au grand sablier, pour une belle folie
Lune et Soleil ont fait l'amour, de ces minutes ...
Il restera pour des siècles des larmes de vie,

Que sont les étoiles !

Ceux qui possédaient la Force et même qui ne la possédaient pas, purent sentir une étrange onde, puissante et lumineuse. Les yeux fermés Wann délivrait son message. Sa voix était lointaine et douce, c'est en chant que ce termina le secret.

-maintenant tu sais tout mais ne le répète qu'aux persones que tu aimes ...sinon les larmes de la Lune s'effaceraient car elles ne seraient plus de joie

-Cherches les étoiles, et des diaments, tu trouveras.
Le coeur de chacun voit plus qu'on ne le croit,
Alors l'espoir reste en ce lieu que nul ne peut atteindre,
Mais que chacun peu voir en toi.

Les larmes de la Lune reste pour moi,
Les lumiére d'un coeur flambant que nul ne peut éteindre.
Crois que tu le peux et tu le fera.
Nos coeurs voient et croient, alors avance et devant toi, vois.

Saï avait répondu de la sorte au chant de cet enfant, qui n'en était plus un, puis se tourna vers lui et le regardait de nouveau.

-Tes paroles resteront gravé au fond de mon coeur, et ce, jusqu'à ce que je disparaisse.
C'est ton secret et je le conserverais entre nous.

Elle se leva et vint près de Wann, puis le serra contre elle, comme l'enfant qu'elle ne pourra jamais avoir. Elle ne voulait pas le brusquer, mais elle avait agis de la sorte, avant même d'avoir réfléchit.

Au bout de quelques instants, le com de Saï se mit à vibrer.
Lorsqu'elle l'activa, l'image de Laï apparut accompagnée par celle de Salorsan.

-Tu peux venir, il y a quelque chose qui nous intrigue et je voudrais que tu me donne ton avis.

Saï regarda Wann un instant puis hocha de la tête à l'adresse de Laï.

-Ok, on arrive, Wann et moi.
Tu va pouvoir apprendre beaucoup ici, mon garçon.

Le sourire qui s'affichait sur le visage de la femme était tel le sourire d'une grande amie. Une invitation à l'aventure.

Wann resta un instant figé, serré contre Saï, puis il leva ses yeux d'un bleu doux vers elle, comme pour insister sur le secret

-tu pourras le dire, si c'est important, à un(e) ami(e)que tu aimes mais pas autrement . Il sert à consoler, trop utiliser les mots, c'est enlever la magie.

Finalement il sentit une présence s'approcher dans la Force, En effet quelques secondes plus tard ï arrivait, Wann reprit son expression fermée, comme si rien ne s'était passé...mais par derrière il fit un clin d'oeil à Saï...enfin clin d'oeil....il avait maladroitement essayé de fermé l'oeil sans le faire avec l'autre. On aurait dit qu'il avait quelque chose dans l'oeil mais l'intention était voyante pour Saï.

Mais devant Laï le garçon gardait une mine sérieuse et mystérieuse. Son coeur d'enfant se dirigeait vers ceux qui souffraient le plus, par automatisme. REliant par sa sensibilité, cette femme qui ne sentait plus rien naturellement. Saï lui proit qu'il apprendrait plein de choses ici . Lorsque Laïla s'en alla en avant, le padawan se tourna vers Saï et répondit à sa phrase

-et moi je ne t'apprendrais pas grand-chose...mais se sera important.

Puis il partit vers l'avant du vaisseau, suivant la présence que Laï laissait dans la Force. Immanquablement le r2 le suivait

Laï savait qu'elle apprendrait aussi de Wann, mais ne dit rien, car la nécessité ne s'en faisait pas ressentir.
Comme il venait de le dire, trop de mot tue la magie du mot.

Rapidement, ils arrivérent devant la porte du pont et l'ouvrirent.
La large baie montrait les traces laissées par le défilement du vaisseau durant son voyage.
Saï pénétra sur le pont et s'approcha de Laï et de Salorsan.

-Que se passe t'il?
-Deux choses, la premiére, le Capitaine voulait voir Wann. Répondit Laï.[i]De plus, peux tu m'expliquer pourquoi ceci réagit de la sorte?

[i]Laï montrait des cadrans qui en temps normal l'aurait fait procéder à des manoeuvres d'urgence, mais dans la situation présente, elle préféré demander à Saï.
Celle ci connecta son corp à un terminal du pont et pianota quelques instants puis finit par trouver l'origine.

-Augmente de 5% l'entrée de liquide Formil dans le secteur 15.
Sa calmera le systéme, et réduit aussi la vitesse hyp de 3%.
Lors des prochains voyage, augmente l'admission du liquide de 2,5%.
SA ne posera plus de probléme.

Laï s'éxécuta immédiatement.
Pendant ce temps, Tenann se tourna vers Wann.

-Tu as du t'apercevoir des capacité qui te sont ouverte grace à la Force.
Je souhaite t'en montrer certaines facette dont j'ignore si tu les a découverte.
Dans ce vaisseau se trouve deux objets anciens.
Je souhaite que, avec la Force, tu retrouve ces objets et que tu me les raméne.
Il s'agit de deux petits objets lisses et sphérique.
Tu ne peux ouvrir qu'une seul caisse et uniquement quand tu saura dans quelle caisse ils sont.
Prend aussi ce qu'il y aura avec.
Cela peut te paraître enfantin, mais ne sous estime pas l'importance de cette tâche.

Saï regardait Tenann et Wann, attendant de voir comment allait réagir le garçon devant cette tâche.
Elle ne connaissait pas grand chose à la Force, mais pour avoir vu Tenann l'utiliser de temps à autre, elle savait que cet objet devait être bien caché, car elle même ne connaissait pas l'éxistence de tel objet à bord.
Elle regarda Laï qui lui fit comprendre qu'elle non plus ne connaissait pas ces objets.
Ensemble, elles regardérent Salorsan qui hocha de la tête, signe qu'il savait de quoi il s'agissait.
Elles auraient donc une réponse prochainement.
Une réponse parmis un océan de question qu'elles se posaient.

Doucement Tenann fit une chose qu'elle n'avait pas fait depuis des années.
Elle approcha son esprit de celui de Wann.
Cet exercice était pour elle d'une simplicité et d'une aisance tel qu'elle parvint à trouver ce qu'elle cherchait rapidement, mais sans se faire oppressante envers Wann, ni prendre le risque de l'effrayé. Elle restait à la limite de son esprit, et attendit.

Wann naimait pas ce côté de la Force. Tarok s'en servait pour savoir si le garçon était mécontent envers lui..et comme ça ne loupait jamais il se faisait punir, pour quelque chose qu'il avait eu le malheur de penser. Il se raidit, attendant la sanction, laissant Tenann venir à lui...mais elle resta à la limite, demandant la permission, alors qu'il lui aurait été facile de "défoncer" la porte de son esprit. Wann ne dit rien mais il appréciait la marque de respect. Il pencha légèrement la tête et Regarda Tenann, assis à terre les deux mains posées sur le sol.

Finalement il se releva comme un automate mais ne se mit pas à chercher. Il avait trouvé une tactique beaucoup plus interessante mais qui recquiérait de la puissance. Wann ne se faisait pas de souci sur çà, il avait toujours eu autant de Force qu'il le souahitait. Tandis qu'il regardait Tenann ses yeux se mirent à briller. Il semblait partit vers un autre monde, son regard était tourné vers la jeune femme mais fixait le vide. Puis lentement il ferma les yeux, en appelant à la Force. Longuement il étendit son aura vers toutes la salle. Chaque personne fut intégré à son univers....y compris l'esprit de Saï flottant entre terre et ciel.

Le petit garçon visita chaque recoin sans faire d'un pas, il levait néamoins parfois la main, faisant s'agiter ses doigts pour s'aider. Aux bouts de longues minutes Wann ouvrit les yeux, lentement mais urement. Il fit le lien entre la présence de Tenann devant lui, et sa présence dans une caisse. L'enfant s'avança alors et passa ses doigts sur le bois rugueux. POur vérifier il envoya une puissante onde de Force et sourit Lentement encore une fois il ouvrit le coffre et trouva une drôle de sphère Bleue et une autre rouge.

Docilement Wann, le sourire disparut mais l'air concentré ramena les deux balles. Se demandant si Tenann les avaient perdues. Dans chacune des mains ouverte de la Jedi, l'air plus calme et sage que jamais, Wann déposa les deux objets puis s'ecarta un peu

Le regard de Tenann se posa sur Wann.
Il avait utilisé la Force avec une telle aisance, qu'elle se sentait rassurée de pouvoir former ce garcon elle même.

-Vois tu, Wann. Ces trois mots résonérent aussi bien sur le pont que dans l'esprit du garçon. Ces deux sphéres sont le peu de chose qu'il me reste de mon passé. Tenann effleura à peine la surface des deux sphére qu'elles se mirent à voler autour de Tenann.
Aucune trace de Force dans ce simple phénomène. Tu comprend pourquoi elles revêtent autant d'importance pour moi.
Dans le coffre, il y a encore quelque chose, prends les, ils sont pour toi. Ils m'appartenait autrefois.

Tenann avait laissé son esprit à la limite de celui de Wann.
Les deux sphéres continuées de tourner autour de Tenann, doucement, mais avec des trajectoire clame et parfaite.

-Nous allons faire une sortie de l'hyperespace, pour permettre aux machines de refroidir, Capitaine.

Tenann hocha de la tête.
Intérieurement, elle était heureuse de voir que Wann montrait ce talent qu'elle avait cru discerner en lui, mais elle ne savait comment le manifester envers lui.
Elle espérait que ce petit cadeau qu'elle lui faisait serait suffisant pour appaiser son esprit et lui souhaiter la bienvenu parmis eux.

Wann hocha la tête et retourna vers la boîte . Il y trouva un vêtement vert sombre richement paré. C'était si finement cousu, si riche et si beau. Wann se demandait comme un gamin des rues pouvait bien porter ça..ou même oser le toucher. Il le remit avec délicatesse dans le coffre et remercia Tenann d'une onde de Force ey dun signe de tête. Quand il se baissa pour regarder à nouveau quelques larmes coulèent, dans la Force il s'excusa auprès de l'esprit de Tenann ...elle avait été si prévenante! Lui avait sauvé la mise, et lui se croyait esclave.

Il fouilla encore et trouva une drôle de lame. Une épée pour être prévis. Or cela équivalait à entraînement pour lui. Il recula un peu, depuis toujours il craignait le sabre-laser ou même les autres armes. Tarok l'avait entrainer en étant saoul, et l'avait donc blessé plus d'une fois. Dont la dernière avant qu'il ne meure, assez gravement. Cependant il se repris et atrappa l'épée et la contempla un long moment. Mal à l'aise tout de même. Il la remit dans la boite et se tourna vers Tenann. En tout remerciement il courut directement vers elle, écarta es bras d'adulte pour se lover contre son vêtement. Ce n'était pas tant les cadeaux qui lui plaisait ...mais la bienvenue. Et il exprimait ce que Tenann ne parvenait pas à faire, en enserrant sa taille de ses bras

Tenann fut surprise par la réaction de Wann. Elle qui ne savait comment agir envers les autres, la voici prise dans une situation qu'elle ne connaissait absolument pas.
Prudemment, elle posa ses mains sur les épaules de Wann.
Elle sentait au fond d'elle qu'elle devait le serrer contre elle. Peut être était ce ce sentiment que l'on appel l'instinct maternelle. Elle l'ignorait, mais décida d'agir comme le lui dicté ce sentiment.
Doucement, elle serra Wann contre elle, et alla même jusqu'à se mettre à son niveau pour mettre la tête de l'enfant contre son épaule.
Elle n'ajouta pas un mot.

Wann se laissa faire puis aggrppa le manteau de Tenann quand elle se baissa. Il se sentit s'envoler, la tête toujours sur l'épaule de la jeune femme, sa longue natte d'apprenti passant par dessus et chatouillant le menton de Tenann. Wann resta de longue minutes ainsi puis ferma les yeux, bientôt Tenann put entendre son souffle régulier et léger. Après toi=utes ces aventures il était éreinté. Sa toge marron de Jedi tomba de son épaule quand il relacha son étreinte, faisant confiance à Tenann pour qu"elle ne le lâche pas . Il prit la main de la Jedi et la posa sur ses cheveux pour que celle-ci lui les caresses...avant de s'endormir pour de bon

Tenann regarda ses compagnons l'air hébété.
Salorsan s'approcha et souriat à Tenann.

-Cela devait faire longtemp qu'il était éveillé. Il doit vouloir dormir. Laisse nous nous charger du vol, et va le coucher dans une cabine.

Tenann hocha de la tête et franchit la porte. Elle parvenait à se déplacer aisément dans l'obscurité qui reignait ndas les couloirs et elle arriva devant sa propre cabine. Elle en ouvrit la porte. Doucement, elle allongea Wann dans son lit, puis bordat doucement les couvertures, puis s'assit sur une chaise à côté et carressa le visage de Wann.
Elle se sentait effrayée par ce qu'elle ressentait. Ce sentiment qu'elle ne connaissait pas et qu'elle ne comprenait pas.
Pourtant, elle se souvint de sa mére qui faisait les même geste lorsque, enfant, elle faisait des cauchemards ou qu'elle s'était écroulée sous le poid de la fatigue des travaux de la journée.

Tandis qu'elle revoyait ces scénes, elle entendit l'holo de son bureau. Le visage de Laï apparut.

-Capitaine, une communication nous ai parvenu. Le Temple nous demande de rejoindre Kamino le plus rapidement possible.
Maître Windu smeble ne pouvoir maîtriser la situation sans renfort.
-Alors procéde.
On peut y être en combien de temps?

Le visage de Saï apparut à coté.

-En poussant un peu les systémes, on peut le faire en 30 minutes et attérir la bàs 5 minutes plus tard.
-Bien procédez et faites prévenir maïtre Windu que nous arrivons.
Saï, profites en pour repeindre le chasseur de Salorsan, si on en a besoin, je ne veux pas que Naboo soit impliqué.
-Bien, Capitaine.

Un léger bip signala la présence dans la piéce du r2.

-Peux tu aller aider au hangar ou à maintenir les moteurs en marche.

Le R2 ajouta un bip d'approbation puis commenca à sortir de la piéce.

-Quand nous serons posé, tu pourra revenir au près de lui est veiller sur son sommeil?

Tenann alluma son com tandi que le droide sortait.

-Saï, prépare également les Droides de combats.
-Ils le sont déjà. C'est les premier que je maintiens en état, avec ceux des moteurs

Tenann opina de la tête. Bien qu'elle ne vit pas le geste, Saï en fut consciente.

Ainsi, le vaisseau reparti en direction de Kamino.

Le sommeil de Tenann fut semé de cauchemard, de montres saoûls et de sabres-laser bourdonnants. Mais pour la première fois, tout se finit en rêve dans les bras de Tenann, il rêva aussi d'un monde plein de vaisseau et de bip-bip. d'une femme au corps de Metal mais au coeur humain. Il vit la lune pleurer ses larmes de joie, puis les siennes se mêler à cette lumière, car elles étaient elles aussi de joie.

hj : desolé manque d'inspi confused

Tenann, voyant que Wann dormait profondément, se leva et rejoignit le pont.

-Deux minutes avant d'arriver dans l'espace de Kamino.

Tenann hocha de la tête

[HRP]La suite dans l'espace de Kamino.[/HRP]